Lors d’un match de boxe, un spectateur se montre particulièrement déchaîné :
-Vas-y Rocky, cogne le ! Allez ! Envoie-lui ton poing dans la figure ! Vas-y ! N’hésite pas !
Son voisin s’étonne et lui dit :
-Eh bien, dites donc. Vous devez bien le connaître, Rocky, pour le soutenir à ce point…
-Rocky ? Ah mais pas du tout ! C’est juste que je suis le dentiste de son adversaire !
Par un dimanche pluvieux, au bord d’une rivière, un promeneur remarque un pêcheur à la ligne qui range ses affaires. Le promeneur s’approche du pêcheur et lui demande :
-Alors, qu’est ce que vous avez attrapé aujourd’hui ?
-Un rhume ! répond le pêcheur.
Toto rentre de l’école très contrarié. Sa mère lui demande ce qui ne va pas.
-C’est Théo qui m’a volé mon goûter…
-Et tu ne t’es pas défendu ?
-Non…
-Mais enfin Toto, tu fais du karaté, tu dois pouvoir te défendre dans ce genre de cas.
-Oui, mais je n’avais pas mon kimono…
Depuis quelques semaines, la maîtresse est vraiment agacée par le comportement de Toto. N’y tenant plus, elle lui dit :
-Toto, j’en ai assez ! Pourquoi réponds-tu à toutes mes questions par une autre question ?
-Ah, je fais vraiment, ça, maîtresse ?
Après les vacances de la Toussaint, Toto revient à l’école avec la jambe dans le plâtre.
La maîtresse lui demande :
-Mais que t’est-il arrivé, Toto ?
-J’ai voulu ramasser des feuilles…
-Ah… et tu as glissé, c’est ça ?
-Non, je suis tombé de l’arbre !
Aujourd’hui, en classe, la maîtresse envoie Toto au tableau :
-Ecris un oreiller sur le tableau, Toto.
-Pas de problème, maîtresse, c’est facile :
Et Toto écrit : Ø
– Tu viens jouer, Toto ?
– Je ne peux pas sortir, les gars…
– Ben, qu’est-ce qu’il se passe, Toto ? Tu es puni ?
– Non, mais il faut que j’aide mon père à finir mes devoirs…
Toto se rend dans une pâtisserie :
-Bonjour Madame, dit-il à la pâtissière. Combien coûte ce millefeuille, s’il vous plaît ?
-Deux euros, Toto.
-Ah , je n’ai qu’un euro… Je vous en prendrai juste 500 feuilles…
Un jeune indien visiblement contrarié va trouver son père, le grand chef indien et lui explique :
-J’en ai assez de m’appeler Le-chant-de-la-locomotive-qui-passe-gaiement-dans-la-verdoyante-vallée ! C’est trop long, papa !
-J’ai entendu ta demande, fils. Et comment souhaites-tu te faire appeler maintenant ?
-Tchou-tchou !
Monsieur Michu croise un homme dans la rue. Celui-ci s’arrête et dit à Monsieur Michu :
-Ça alors, Gilbert ! C’est fou ce que tu as changé : Tes cheveux, ton nez… C’est pas croyable !
-Mais je ne m’appelle pas Gilbert !
-Ah, parce que tu as aussi changé de prénom ! Sacré Gilbert !
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